Maxime Blanchette-Joncas se réjouit de l’adoption du projet de loi pour la défense des régimes de retraite

Maxime Blanchette-Joncas se lève en Chambre pour faire un discours. Credit Photo Bernard Thibodeau

Le député de Rimouski-Neigette—Témiscouata—Les Basques, Maxime Blanchette-Joncas, a salué, aujourd’hui, l’adoption unanime par la Chambre des communes, du projet de loi visant à protéger les bas de laine des travailleurs et travailleuses en cas de faillite d’entreprise.

Un combat de plusieurs années pour mettre à l’abri ces fonds de retraite durement gagnés, le député bloquiste se réjouit de l’issue positive de ce dossier, et surtout, que des milliers de travailleurs et travailleuses puissent désormais envisager leur retraite l’esprit beaucoup plus tranquille. 

Selon M. Blanchette-Joncas, lorsque des entreprises en faillite pigent dans le bas de laine des travailleurs pour payer leurs créanciers, ça s’appelle du vol et il fallait que ça cesse au plus vite. Il est très heureux que les parlementaires se soient ralliés à cette cause que le Bloc Québécois défend ardemment depuis longtemps en donnant leur appui au projet de loi. Le député ajoute que ça permet ainsi de mettre fin à une pratique odieuse dont les travailleurs et travailleuses sont depuis trop longtemps les injustes victimes.

Le projet de loi était appuyé par le milieu syndical et des groupes de défense des droits des retraités représentant plus de 3,5 millions de personnes. Bonne nouvelle pour eux, car la modification de la législation actuelle permettra de mettre à l’abri les fonds de pension des travailleurs même si un employeur ou ex-employeur fait faillite.

« Grâce à ce projet de loi, nous empêchons la réédition des histoires d’horreur comme celle vécue par les travailleurs de la Cliff’s en 2015, qui ont perdu une bonne partie de leur fonds de pension et de leurs assurances collectives. Désormais, en cas de faillite d’entreprise, il ne sera plus possible de laisser des retraités sur la paille : les caisses de retraite de nos travailleurs et travailleuses seront à l’abri », de conclure Maxime Blanchette-Joncas.